Groupement Interprofessionnel de Fabricants pour l'Étude de la Commercialisation
12/04/2021

C’est une tendance de fond qui ne se dément pas : l’électrification de la puissance dans les engins mobiles. Ce phénomène, semblable à celui qui prévaut dans le secteur de l’automobile, passe par une phase intermédiaire : la transmission de puissance hybride, thermique et électrique.

Précision, propreté, les avantages sont évidents. Mais les limites également : difficile de ne pas recourir à un moteur thermique lorsque de fortes puissances sont nécessaires.

C’est pourquoi il est absurde de prendre parti pour l’un ou l’autre des modes énergétiques. Les fabricants de composants savent s’adapter au marché, et proposent donc intelligemment le meilleur des deux options.

En milieu confiné ou urbain, par exemple, l’électrique a toute sa place. C’est moins le cas en milieu forestier ou agricole, pour des raisons évidentes d’autonomie. L’électronique offre les avantages de la précision et des économies d’énergie, notamment via la récupération. Cette dernière option demeure encore peu utilisée.

Quoi qu’il en soit, les années qui viennent verront sans nul doute le développement de cette hybridation, voire le changement complet des habitudes industrielles si les solutions de stockage de l’énergie électrique connaissaient un bond en avant.

Nous n’en sommes pas là, et plus modestement, notre dossier vous propose un panel de solutions éprouvées. Bonne lecture ! 

Karim BOUDEHANE

Rédacteur en chef FLUIDES ET TRANSMISIONS

 
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